Kate Daniels Rescue

#54: - Re: Re:

C'est vrai ; le soucis vient, à part égale avec le choix des couvertures de mon point de vue, de la classification Bit-Lit. C'est comme Chick-Lit ça sonne féminin et donc pour femmes. Ce terme qui se voulait englobant pour tout un type de littératures de l'imagnaire a fini par engendrer beaucoup de préjugés sans distinction des diver(e)s titres/séries qui figuraient dans la case tels : scènes torrides, pas de vraies intrigues, romance à outrance, pour gonzesses etc.

Il y a encore peu de temps, je ne faisais pas cette différenciation entre Urban Fantsy d'un côté et Bit-Lit de l'autre, et je pense que je ne suis pas la seule à avoir fait l'amalgamme. Sans doute parce-que le terme Urban Fantasy n'était pas encore bien défini par chez nous et que nous ne savions pas bien quelles étaient les différences notables entre les deux genres, je pense que certain(e)s lectrices/lecteurs sont encore dans ce flou.

Je n'ai bien saisi que lorsque j'ai lu Kate Daniels, qui m'a renvoyé à Rebecca Kean qui elle aussi est de l'U.F et ainsi de suite jusqu'à Mercy Thompson et Danny Valentine qui sont les premières séries U.F que j'ai lu. Si j'ai pu faire cette différenciation c'est en partie grâce au fait que j'ai lu et lis encore de la B.L (ce qui m'a permise de constater les différences) mais c'est aussi grâce à cette vidéo conférence instructive : http://www.dailymotion.com/video/xrbs7k_bit-lit-non-urban-fantasy_creation#.UZ0KyLUxuSo .

Bref nous sommes bien d'accord pour dire que classer K.D ou encore Dresden (bien que je ne l'ai pas encore lu) fût une belle erreur qui leur a coûté un bon nombre de lecteurs potentiels.