Pour la santé financière de St-Augustin et de ses citoyens!

Citoyen de St-Augustin et propriétaire depuis 1972, j'ai connu différents Conseils Municipaux qui se sont succédés depuis ce temps et tous ont agi avec discernement dans les dépenses qu'ils avaient à faire en ayant comme but, le bien-être de leurs citoyens et leurs capacités de payer.

À l'arrivée de l'équipe Corriveau tout a été chambardé dans tous les domaines en voici quelques exemples:
Augmentation du personnel au delà des besoins. Si on visait d'avoir autant de personnel que la ville de Québec et bien, on a réussi.
Qui n'a pas vu en plusieurs occasions durant l'hiver, le rassemblement de plusieurs camions de la ville qui nettoient les chemins, arrêtés à un certain restaurent sur la route 138 prendre leurs cafés pas durant 30 minutes, mais pendant une heure, tout en laissant tourner leurs camions.

Dans le cas de l'ex-directeur Général qui a eu des démêlés avec certains employés , bien qu'ayant été suspendu avec un plein salaire, et remplacé par un autre pendant son congé avec solde, il a été réembauché dans un autre poste et probablement avec le même salaire.

Un autre exemple, de dépenses durant l'hiver, c'est l'employé qui nettoie les trottoirs avec une chenille.
Vers 11hrs15, il passe par la route Tessier à 5, 10 milles à l'heure se rendant au garage de l'Hôtel de Ville prendre son dîner et on le revoit vers 12hrs45 retournant aux limites de Cap-Rouge pour continuer à déblayer les trottoirs.
Perte de temps, dépenses de diésel et en même temps, on voit les camions de la ville faire le même trajet aller et retour.
Sur deux, trois camions venant du même endroit ils auraient pu le prendre à bord il y aurait eu économie de temps et de carburant.

Sans parler du nouveau complexe sportif et de la maison Soulard qui a coûté une petite fortune.

Je constate que présentement dans le personnel de la Ville il y a beaucoup plus de chefs que d'indiens.

L'UPAC avait certainement de bonnes raisons de débarquer à l'Hôtel de Ville.
Aucune nouvelle depuis ce temps.
J'en ai ras bol des décisions du Conseil Municipal et, du laissé aller des employés qui ne semblent pas avoir de directives venant de la direction.
Quel beau gâchis monsieur le maire!