Soutien à Jean-Paul Ney, victime de menaces et diffamation

pseudonyme

/ #13

2015-07-07 17:54

Extrait de https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Ney

Polémiques et démêlés judiciaires

Personnalité extrêmement contestée, Jean-Paul Ney a été mis en cause dans plusieurs affaires.

En mai 2003, Jean-Paul Ney est mis en examen pour « vol et atteinte à la sûreté de l’État » par le juge antiterroriste Gilbert Thiel dans le cadre d’une enquête sur la disparition d’une carte d’accès au réseau sécurisé Rimbaud (Réseau interministériel de base uniformément durci), alors qu’il est employé comme vigile au Ministère des Affaires étrangères. Selon Le Point, sa source aurait été le commissaire de police Hubert Marty-Vrayance, ex-fonctionnaire des Renseignements généraux.

Entre 2001 et 2003, Jean-Paul Ney s’en prend au webmestre du site kitetoa.com, Antoine Champagne. Mis en examen pour « menaces de mort réitérées » à l’encontre de ce dernier le 22 janvier 2003, Jean-Paul Ney, défendu par Me Dominique Labbé, est reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés au terme d’un procès devant le Tribunal de grande instance de Nanterre. Le 10 mars 2004, il est condamné à un an de prison avec sursis assorti d’une obligation « de se soumettre à des mesures d’examen, de contrôle, de traitement ou de soins médicaux, même sous le régime de l'hospitalisation notamment des soins psychologiques et psychiatriques » (jugement du TGI de Nanterre en date du 10 mars 2004, au titre de l'article 132-45 3° du Code Pénal), 3 000 € de dommages et intérêts et 1 000 € au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale (frais irrépétibles). À la suite d'une nouvelle affaire de diffamation « par un moyen de communication électronique » envers Antoine Champagne survenue le 22 août 2005, Jean-Paul Ney est condamné par le Tribunal de grande instance de Nanterre à 5 000 € d’amende, 8 000 € de dommages et intérêts et 5 000 € au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale, avec obligation de publication du jugement sur les différents sites lui appartenant, le 5 février 2008.

En novembre 2007, Jean-Paul Ney consacre sur Intelink un article flatteur à Arash Derambarsh, directeur de collection chez Ramsay puis au Cherche midi (éditeur chez lequel Ney avait publié Souriez, on vous espionne en 2005), accusé en janvier 2008 de s’être autoproclamé président du réseau Facebook.

En janvier 2015, il dénonce sans preuve un lycéen, innocenté par la suite, comme le troisième suspect responsable de l'attentat contre Charlie Hebdo.