Pas de coupe dans le budget de la culture à Genève!

Sandrine Girard
Visiteur

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2011-10-14 01:26

De plus en plus, on parle  de la rentabilité  du vivant.   Le travail en faveur de la vie se compte en qualité, (incompréhensible en millieux boursiers) on parle de "bénéfices réels"  et concrets qu' apporte la culture par exemple, non seulement en restos du coin apres un spectacle  mais en profits pour la conscience.   Je vois que l'intelligence au service de la planète, ainsi que le temps de produire la qualité génèrent des " profits  du vivant" qui sont déficitaires pour la haute finances mais sont grandement bénéfiques pour l'ensemble du monde. Le PID le produit intérieur doux veut comptabiliser cette richesse. Ils incluent bien évidemment la richesse d'une culture diversifiée. Elle est au profit de  tous;  clarté d'esprit,soupapes de rires,  conscience d'être en vie, ainsi  que l'ambition  de transmettre l'histoire du monde et ce,   bien avant sa rentabilité économique. On vous rappelle que nous ne sommes pas de la matière monnayable, ni  des êtres abstraits qui se nourrissent que de vent. Il faut faire des coupes chez nos grands dealers de la haute finance. Ce n'est pas que le peuple coûte cher, ce sont ces dealers qui ont un déficit irresponsable envers la vie.