Les 46 parcs naturels régionaux de la France métropolitaine, soit plus de 13% du territoire, sont actuellement " vendus à l'encan " à des promoteurs qui les écument systématiquement.
Ces zones naturelles protégées sont conçues pour préserver la nature et non pour être transformées en zones industrielles.
La filière éolienne est outrageusement subventionnée avec de l'argent public. Elle attise l'appétit des investisseurs financiers pour ses rentabilités artificiellement dopées et sans risque. Une spéculation effrénée incite les promoteurs à la création incessante de nouveaux parcs ensuite revendus à des structures complexes en bénéficiant d'une défiscalisation des plus-values.
En réalité, du fait de l'intermittence du vent, et donc du faible « facteur de charge des éoliennes 1 mégawatt éolien ne fabrique annuellement que l'équivalent de 0,25 mégawatt utile
Les mauvaises performances de l’éolien on été confirmées par Le PDG de GDF Suez, Gérard Mestrallet. Il a solennellement mis en garde à Montréal contre la séduction excessive qu'exercent sur l'opinion publique les énergies renouvelables, en soulignant notamment le prix élevé de l'éolien.et la nécessité de construire des centrales thermiques à gaz pour soutenir les parcs en période sans vent
La Fédération Environnement Durable, Fédération nationale, regroupe 786 associations soutient tous ceux qui sans moyens face aux puissances de l’argent luttent de toutes leurs leur forces pour stopper ces ignominies. Les pseudos organismes patentés qui acceptent ces parcs éolienes et qui en plus se targuent de représenter l’écologie ne sont que des complices de ce massacres
Voir les manifestations en cours au danemark ou des vrais écologistes sont attachés aux arbres d'une fôret danoise pour la sauver des bulldozers qui vont la ravager pour implanter des éoliennes
http://epaw.org/events.php?lang=en
J.L. Butré
Président de la Fédération Environnement Durable
http://environnementdurable.net

#1: -  

j'ai lu  sur   http://www.ilemaurice-tourisme.info/article.php?id=803

 Que le  21/4/2011. -La réserve naturelle de Bras-d’eau et sa voisine Mare-Sarcelle, se trouvant dans l’est du pays, deviendront bientôt un unique parc national. La décision a été prise vendredi dernier, lors du Conseil des ministres

La vedette de ces bois, c’est le «coq des bois», une espèce d’oiseau endémique que l’objectif d’un appareil photo arrive rarement à capturer. La réserve accueille aussi d’autres espèces endémiques, comme la crécerelle, le Pic, le Gros Cateau Vert.

A l’officier d’ajouter que plus de la moitié de la population de certaines espèces d’oiseaux vit à Bras-d’eau.
La réserve compte des singes, des lièvres et d’autres espèces nocturnes. Parmi les plantes, on trouve une dizaine d’espèces de grands arbres atteignant souvent près de 40 mètres de haut. Les espèces les plus répandues sont l’eucalyptus blanc (originaire d’Australie), le Tecoma, le Monkey Puzzle Tree : un conifère très souvent utilisé en bordure de route et apprécié pour sa symétrie. Les cinq mares qu’on trouve à travers la réserve de Bras d’eau recèlent des poisons d’eau douce de taille parfois impressionnante, car personne n’y pêche.

Ne détruisez  pas votre paradis avec ces monstrueuses éoliennes