#62: En voie de disparition -  

 Je suis tout à fait d'accord en ce qui concerne les métiers d'art, pour qui se prend-t'on à nous juger supérieur à eux! L'insertion dans ce système ne peut qu'aider la professsion en nous appuyant sur cette entité forte. Nous exerçons un travail manuel, ne nous leurrons pas. Nous ne sommes pas encore à l'ère de la robotique dans la profession! L'histoire de la restauration est intiment lié aux savoirs-faires des artisans qui nous ont précédé (pour le meilleur ou le pire). Je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas concilier une tradition manuelle séculaire avec la déonthologie et la pratique moderne. Mais ce mépris est finalement assez révélateur de la pensée actuelle de notre métier envers le travail manuel,au risque de perdre des gestes précieux pour l'avenir du métier et qui avaient survécu jusqu'ici.

#101: - Re:  

 C'est sûre que lorsque vous rencontrez un jeune diplômé qui vous dis que telle personne est has been en parlant d'un professionnel qui a plus de 40 de métier, qui fait parti de cette dernière génération qui a commencée en apprentissage et qui partira bientôt à la retraite, cela fait un peu peur. Il y a sans doute un certain hermétisme dans les formations publiques ou privées que les stages ne peuvent compenser.

#101: - Re:  

 Bonjour, je finis par répondre car je perçois des montagnes de naiveté de la part de collègues qui voient dans las promesses de reconaissances, des budgets de soutien et des promesses de crédits d'impots une manne et une compensation à l'absence de  reconaissance des professionnels quels de soient leur formation. Car la question des métiers d'art n'est pas qu'affaire de formation; La population identifiée des métiers d'art est de plus de 30 000 Personnes qui vivraient de la restauration.  mais une enquête ou peu de professionels diplomés ont répondus explique que seulement 70 % de leur activité relève de la seule restauration. Sont ils comparables ? ce sont de sprofessionels surement excellents, qui font la même activité que les c-R pendant 30 % de leur temps professionel; Font ils le même travail ? de la même manière ? avec les mêmes exigences ? Je ne sais pas, mais ce que je sais c'est que nombres de diplômés ne peuvent pas travailler à temps complet et à des prix inférieurs à ceux de garagistes, parce qu'ils sont en compétition avec des professionels qui se disent restaurateurs, sans qu'ils soit possible de le vérifier. Mais les objets s'en souviennent. quand ils survivent. Ils sont tout beaux mais sont ils encore vraiment ce qu'ils étaient. Documentés, stabilisés, avec des traitements sur mesure et non pas traité comme le demande le savoir faire...???

Et puis si la fusion de toute les spécialités de la conservation restauration se fait,dans cette liste au mépris de ceux qui ne veulent pas y être, ce que certains appellent de leur voeux je me demnade comment ils feront entendre leur voix au milieu des 30 000 autres professionels qui ont aussi des activités de réation de production et donc de vente,ce que la déontologie refuse quand on l'applique àdes beisn que l'on traite. comment nous ferons nous entendre ?  Je vois surtout de la condescendence de la part de ceux qui revendiquent l'excellence des savoirs faire, l'intelligence de la main, et le mépris de celle de l'esprit.

Ceux qui se reconaissent dans la notion de conservation-restauration demandent simplement que l'on ne leur impose pas de figurer dans cette liste? Que ceux qui veulent y figurer fassent ce qu'ils veulent, mais qu'ils n'imposent pas à leur tour ce qu'il veulent pour eux mêmes.

Merci.