#6: Suzy - Re:

d'accord avec toi suzy mais le but n'etait guerre de remettre tout ca comme si c'etait les immigrants le problemes mais quand il sont accepter citoyen canadien ben il se doivent de resptecter nos coutumes et meurs,,,,et non d'essayer de nous obliger au leur ,,,en interdisant le mot noel ds les ecoles en revoquant l'enseignement religieux dans les ecoles primaires,,,cela est une atteinte direct ,,,c'est pourquoi que j'ai suggerer qui soit ouverte d'autres ecoles pour les citoyens pratiquand d'autres cultures que la notre puissent etre respecter mais de la a nous obligers de changer les notre parce qu'on porte offense a les leur y'a quand meme des limites c'est pas nous qui avons demander d'etre eberger dans leur pays,,,,alors faut se poser la question jusqu'ou cela iras ,,,jusqu'a ce que nos valeur et nos traditions disparaissent ,,,ca seras plus le temps d'agir rendu la ,,,on auras qu'a tout leur ceder,,,,les juifs on deja leur ecoles et leur eglises alors pourquoi chagerions nous pour d'autres cultures ,,,y'en a qui ont compris pourtant en respectant nos traditions et en pratiquand la leur au sien de leur communaute !

#12: - Re: Re:  

Je comprends bien ce que tu dis, mais je fais juste nous mettre en garde de ne pas tomber dans le piège d'ostraciser les immigrants. Dans le fond, les immigrants ce qu'ils font c'est croire en leurs valeurs et ils parlent fort pour se faire respecter. Ils sont en quelque sorte un modèle à suivre. Quand on croit à quelque chose et qu'on l'aime, alors on le défend. Je pense qu'il faut simplement se concentrer à protéger notre culture et montrer à nos élus que cette culture est importante à nos yeux. Plus nous serons à le dire, plus ils nous prendrons au sérieux. J'ai de mon côté beaucoup d'amis immigrants que j'aime énormément. Des arabes, des juifs, des haîtiens, des afriquains, des philippiens, des chinois, des japonnais et j'en passe. Je trouve que toutes ces cultures nous enrichissent beaucoup et au départ je ne crois pas que nous désirons leur crier de retourner chez eux. Nous les voulons avec nous et nous les aimons. Mais nous ne devons pas oublier nos propre racines dans tout ça et si on veut garder ce qui est cher à notre coeur, il faut le dire à voix haute.