Calendrier académique HEIG-VD

Commentaires

#411

Je signe parceque je trouve cette semaine de vacances primordiale pour le rythme et le moral.

Damiano Mondaini (L'Auberson, 2021-04-17)

#417

Je signe parce que j'adhère aux propositions de cette pétition et ne comprend pas non plus la décision de l'HES-SO.

Simon Macherel (Duillier, 2021-04-17)

#418

je pense que cette semaine de relache permet aux étudiants de mieux vivre le semestre

Alexandre Duc (Pully, 2021-04-17)

#426

Diktat peu convainquant de la part de la HES-SO et timing maladroit.

Alain Bron (Lausanne, 2021-04-17)

#430

Je signe pour plusieurs raisons. La première, c'est que pour les personnes qui enseignent les deux semestres et durant les HES d'été et qui font des projets le reste du temps, il n'y aura bientôt plus de possibilité pour prendre leurs vacances. En outre, c'est une tradition dont l'origine a fait que par le passé, nos aïeux se rapprochaient de la nature lors des récoltes. Or notre époque, où la nature est mal menée, il serait dommage de nous en éloigner encore plus en oubliant ce moment important, alors que l'engouement du développement durable nous rappelle qu'il est bien de ne trop malmener notre Terre nourricière. Finalement, après tous ses sacrifices consentis pour faire face au coronavirus, pouvoir reprendre son souffle l'automne prochain, pour les étudiants en particulier, ne sera pas un luxe.

Stephane Citherlet (Les Sciernes, 2021-04-18)

#446

Je citerai le dernier paragraphe qui regroupe des raisons très juste, c'est à dire le manque de communication d'où les bienfaits d'un dialogue et la situation actuelle qui n'encourage pas à faire des changements de se genre. Il est intéressant d'avoir l'opportunité de s'exprimer

Samuel Coelho (Chavornay, 2021-04-18)

#455

Je suis à la heig en cours d'emploi et cette semaine d'octobre me permet de prendre des vacances sachant que mes collègues étant parents sont prioritaires pour les vacances donc pâques etc.. ne sont pas suffisant !

Ufuk Simsik (Yverdon-les-bains, 2021-04-19)

#460

Etant en dernière année de la formation "En emploi" je sais très bien à quel point cette semaine sans cours est importante. Pas forcement de repos mais de rattrapage du retard cumulé et d'avancement des activités de groupe. Donc strictement nécessaire à préserver.

Davide Morais (Vuadens, 2021-04-19)

#491

J'appuie cette pétition, notamment en référence au rapport 2019 des experts de l’accréditation institutionnelle HES-SO et ses exigences en matière de prise de décision participative, ainsi qu’aux objectifs du développement durable de la Confédération, en particulier, son aspect social.
L'intérêt pédagogique doit primer toute décision administrative.
Les enseignants et les étudiants constituent les acteurs principaux de l'éducation. On ne peut pas ignorer leur opinion.
L'ampleur du travail du PER et les défis rencontrés par les étudiants, notamment dans cette période de crise qui perdure, doivent être pris en compte.
De plus, selon la LPers (Loi sur le personnel de l'Etat de Vaud), on ne peut pas retirer ses acquis au personnel, notamment ses périodes de pause et ses heures d'activité. Pour procéder à une quelconque modification de ses acquis, il faut qu'une annonce formelle et collective soit faite au préalable auprès des intéressés, et que l'accord formel de chacun soit obtenu.

Roya Bafandi (St-Sulpice, 2021-04-19)

#501

Je signe pour: "qu’un réel dialogue soit mis en place, afin que les motivations de ce changement soient clairement énoncées et démontrent le bien-fondé de celui-ci"

laurent bolli (lausanne, 2021-04-19)

#511

Les étudiants ont besoin de souffler!

Cédric Bornand (Yverdon-les-Bains, 2021-04-20)

#515

Sauf raison impérieuse, laquelle ne nous est à ce jour pas connue ou pas apparue comme telle, je ne vois pas la plus-value d'une telle mesure.
Bien au contraire.

L'harmonisation du calendrier académique est en soi tout à fait rationnelle. Cela fait au moins une coche dans la colonne des +;

Dans l'autre colonne, celle des -, on peut au moins mentionner:

1)la situation des étudiant-e-s, en particulier ceux-celles de première année, lesquel-le-s vivent un choc violent dès la semaine 38;
il y a ici suffisamment de témoignages allant dans ce sens. Il faut enseigner en première année pour apprécier cet état de fait; il y aurait beaucoup à dire.

-la situation des enseignant-e-s, en particulier les maîtres d'enseignement, soumis à un pensum hebdomadaire moyen de plus de 20 périodes
d'enseignement au niveau tertiaire a. Il faut vivre cela (ou au moins l'avoir vécu) tout en ayant de bonnes évaluations d'enseignement pour comprendre
ce que cela veut dire: surcharge (pas de semaine à moins de 60h) accompagnée d'un stress constant,
(il y a 24h/24h une minuterie en route annonçant plusieurs fois par jour le prochain cours). Pour ceux et celles qui enseignement en HES d'été,
ce rythme se prolonge d'une à deux semaines.

-la situation des nouveaux enseignant-e-s, lesquel-les doivent s'approprier voire développer tout ou partie de nouveaux cours et laboratoires,
mettre en place une activité de recherche appliquée, maintenir leurs contacts industriels, concilier travail, vie sociale et famille...

Imposer cette modification du calendrier académique sans argumentation convaincante apparaît comme un acte gratuit. Je recommande
vivement que la décision soit reconsidérée en analysant plus en détails ses conséquences (cf colonne des -) possibles.

Michel Etique (Yverdon-les-Bains, 2021-04-20)

#517

Ce genre de modification ne dois pas se faire unilatéralement

Raphaël Gerth (Pully, 2021-04-20)

#518

Je relève chaque année à quel point cette pause est utile pour se remettre à niveau. J'imagine qu'il en est de même pour nos étudiants.
L'uniformisation n'est pas un but en soit et n'est en aucun cas une justification suffisante.
Notre école est ancrée dans le Canton de Vaud; nos étudiants et nos collègues le sont aussi en majorité. La vie du canton est ponctuée, pour plein de raisons, sur le calendrier scolaire (activités accessoires, bénévolat, vacances des proches etc...). Pourquoi notre école devrait abandonner cet ancrage qui la rend avantageuse pour bon nombre d'acteurs (professeurs et étudiants) au nom de l'uniformisation du calendrier avec les autres écoles (qui seront aussi pénalisées dans leur cantons respectifs). C'est une contrainte supplémentaire dans un système déjà surcontraint. Cela doit être argumenté de manière détaillée et les bénéfices doivent être identifiés clairement et mis en balance avec les contraintes que cela engendre. Une consultation doit être activée pour évaluer ce point qui est important pour les acteurs de ce système. A titre personnel, je ne connais pas le calendrier académique des autres écoles de la HES-SO mais je connais bien celui des écoles vaudoises. Cela me paraît être un signe significatif pour montrer avec qui l'harmonisation est, en pratique, la plus souhaitable...

Philippe Bonhôte (Sainte-Croix, 2021-04-20)

#521

Pour moi cette semaine de vacances n’était de base pas une semaine de vacances mais de rattrapage pour le retard accumulé.

Guillaume Tschopp (Cossonay , 2021-04-20)

#530

Je ne comprends pas cette décision et trouve qu'elle nous déssert grandement. Comme dit dans le texte ci-joint, cette semaine est habituellement un moyen de se remettre à jour et de souffler un peu avant les examens. Je rejoins particulièrement le fait qu'au vu de la situation actuelle, enlever cette semaine de vacances ajoute une difficulté psychologique.

Victoria Logan (Lausanne, 2021-04-20)

#535

Je signe cette pétition car cette semaine d'interruption de cours est essentielle pour permettre aux étudiants de récupérer un peu dans un cursus qui est déjà très intense et aux enseignants ( et chercheurs) de rattraper l'inévitable retard qui s'accumule à cause d'une charge de travail souvent disproportionnée. Cette suppression n'apporte aucun avantage en terme de mobilité vu que de toutes façons le semestre se terminera après Noël, ce qui reste un cas spécial HES. De plus, avec le cumul des enseignements d'été, les examens, les rattrapages, le calendrier des TB (maintenant souvent sur les deux semestres) et l'importante charge de gestion des projets de recherche (interruption de cours = rédaction de projets), il ne reste quasiment plus de possibilités de poser des vacances pour les enseignants. Avec l'évolution permanente des besoins d'enseignement (cours à distance, hybrides, etc..), on se retrouve déjà à la limite de l'implosion et on finit par devoir faire notre R&D et gestion pendant nos soirées/nuits et le week-end vu que c'est les seuls moments qui restent... Ce rythme de travail finira par faire de gros dégats si on n'y prend pas garde. Cette suppression d'interruption de cours ne va donc clairement pas dans la bonne direction.

Joël Cugnoni (Ollon, 2021-04-20)

#540

Il ne faut pas rallonger les périodes sans vacances.
Il serait mieux d'en prendre en août et de les mettre en mai. Ainsi que de garder 2 semaines en automne.

Philippe Loup (1587, 2021-04-20)

#541

Travaillant chez un employeur les weekends, en plus des études, faire 7j/7 pendant 14 semaines (ou plus) d'affilée ne m'enchante pas tant que cela. De plus, ces vacances me permettent de rattraper le retard accumulé, ayant quelques difficultés en cours, j'ai besoin de ce temps pour me remettre à jour et me reposer.

Teemu Karvonen (Travers, 2021-04-20)

#548

Je signe parce que il faut assurer la santé des étudiants et des professeurs.

Vincenzo Pallotta (Genève, 2021-04-20)

#575

Les cours à distance on déjà un impacte très négatif sur notre santé mentale. Les vacances nous permettent de sortir quelques instants la tête de l'eau. La suppression de cette semaine en octobre nous ferait faire le semestre d'automne sans pause. Physiquement et mentalement ça va devenir très compliquée de rester efficace et motivé…

Manon Manci (Courgenay, 2021-04-23)

#590

Je signe car je ne trouve pas juste qu'on nous supprime la semaine de vacances.

Imane Kammoun (Penthaz, 2021-04-28)

#592

Je signe cette pétition car même le corps enseignant et décisionnaire de la HEIG-VD ne comprends ou ne soutien pas cette décision.
Cela démontre amplement que ce choix est mauvais et n'est pas en adéquation avec la réalité des études.

Davide Caracol (Lausanne, 2021-05-06)



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