PETITION « Protégeons nos enfants des effets nocifs du masque. »
PETITION « Protégeons nos enfants des effets nocifs du masque. »
Suite à la réintroduction du port du masque pour les enfants dans différents cantons de Suisse, le MSLC, en collaboration avec le Collectif Parents, a décidé de relancer cette pétition !
Merci à vous de la signer et de la partager au plus grand nombre, afin que nous puissions montrer le désaccord de la population envers ces mesures inutiles et dangereuses pour nos enfants !
Concerne : Port de masques pour les élèves, en établissement scolaire en Suisse romande
A l’attention de Messieurs les Présidents des Conseils d’État,
A l’attention de Mesdames les Conseillères d’État,
A l’attention de Messieurs les Conseillers d’État,
Mesdames les Députées et Messieurs les Députés,
Suite à la décision des autorités cantonales compétentes, de rendre le port du masque obligatoire pour tous les étudiant-e-s du primaire, secondaire I, et secondaire II selon les cantons, nous, parents, étudiants, ou simples personnes soucieuses du bien-être des jeunes étudiant-e-s suisses, vous demandons instamment d’annuler cette décision et ce, pour les raisons suivantes :
- Selon les chiffres de mortalité et d’hospitalisation et d'après les critères qui déterminent une pandémie définis par l’OMS, il nous parait totalement disproportionné d’imposer une telle mesure (Chiffres de l’OFSP de la semaine 41 (5-11.10.2020) : annexe 1).
- Les enseignant-e-s ne sont pas sensibilisés aux possibles risques du masque pour la santé. Les effets secondaires sont connus et annoncés par l’OMS (annexe 2), les principales répercussions sur la santé étant liées à l’hypercapnie.
Il apparait ici primordial d’en reconnaître les symptômes, ceux-ci nécessitant un arrêt immédiat du masque.
Comme vous ne pouvez l’ignorer, le port du masque provoque une augmentation du taux de CO2 dans le sang, en raison de son accumulation dans le masque. Cette augmentation du dioxyde de carbone se produit déjà après quelques respirations (annexe 3).
L'hypercapnie peut avoir plusieurs effets :
➢ Limiter les fonctions cérébrales. Les premiers symptômes sont des maux de tête (fait actuellement bien courant chez nos étudiant-e-s), des malaises, des vertiges, une difficulté à se concentrer, de la fatigue, et enfin de la confusion.
➢Mais elle peut également avoir une action sur les tissus : peau rougie, érythème, secousses musculaires…
➢Au niveau cardiaque : une augmentation de la fréquence cardiaque ou des palpitations.
➢ À un stade avancé : panique, convulsions, baisse de la pression artérielle, altération de la conscience et perte de connaissance.
➢ Une fonction pulmonaire altérée.
En tenant compte du fait que les adolescent-e-s malades doivent rester à la maison, seules les personnes asymptomatiques se rendent en classe. Quel que soit l'âge, il a été observé que les personnes infectées de manière asymptomatique ne présentent pas un risque élevé d’infection (seul. 0,3%), … Donc pourquoi imposer le masque dans ce contexte ?
« Il semble encore rare que des personnes asymptomatiques soient effectivement porteuses. » Maria Van Kerkhove, épidémiologiste à l'OMS.1
- Sur les plus de 3700 articles, ayant pour sujet l’enfant et le Covid, répertoriés par Pubmed le 17/8/2020 et les 70 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission entre enfants ou d'un enfant à un adulte dans le monde réel 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14. Sur les plus de 21' 294' 845 cas répertoriés par l’OMS15 le 17/8/2020, aucune observation publiée n’a démontré formellement qu’un enfant pouvait contaminer un autre enfant ou un adulte. Si une telle transmission ne peut théoriquement être exclue, elle serait rarissime.
- Les règles d'hygiène normales, comme le lavage des mains avec du savon, éternuer dans le creux du bras et l'aération fréquente des salles de classe, suffisent à assurer la sécurité sanitaire des écoles.16
« Le simple fait d’ouvrir une porte ou une fenêtre, permet la diminution des gouttelettes d’aérosols de virus de moitié en 30 secondes ! Cela est encore affirmé par 241 scientifiques qui mettent l’accent sur la nécessité d’assurer une ventilation de l’air correcte sur les lieux de travail, dans les immeubles, les écoles, les hôpitaux, ainsi que les maisons de repos et de soins. »17
- Les masques représentent un terrain idéal pour les bactéries, les virus et les champignons. Tous les masques sont humidifiés en continu par la respiration.
Chez les élèves, les problèmes dentaires (traitements orthodontiques), la chaleur de la salle de classe et le manque d’aération suffisent pour mouiller un masque. - L’utilisation est donc non conforme aux recommandations de l’usage du masque et, selon l’OMS, « le fait de mal utiliser un masque peut en réalité accroitre le risque de transmission au lieu de le réduire. » 18
- Les enseignant-e-s ne sont pas sensibilisés à la manipulation correcte de ce dispositif médical, ni aptes à faire respecter les règles préconisées en milieu hospitalier.
Nos enfants n’ont rien à voir avec des chirurgiens. Tout comme une salle de classe n’est pas comparable à un milieu hospitalier ou une salle d’opération. La ventilation, l’hygiène et la température des lieux y sont différents.
Dans les blocs opératoires, les masques doivent être changés après chaque pénétration d’humidité, mais au plus tard toutes les 2 heures. Selon une thèse de doctorat de l’Université technique de Munich, la valeur de ladite ré-inhalation de CO2 n’a laissé aucune personne impliquée porter les masques pendant plus de 30 minutes, car après cette période, les masques étaient humides et inutilisables. Le souffle chaud et humide crée un terreau fertile dangereux pour les virus et champignons, surtout s’ils sont enlevés pour être remis à nouveau.
Par conséquent, selon les recommandations officielles sanitaires :
➢ Les masques ne doivent pas être utilisés pour un usage privé.
➢ Lors de la mise en place d’un masque, s’assurer que l’intérieur n’est pas contaminé. Les mains doivent être lavées soigneusement avec du savon au préalable ou/et désinfectées.
➢ Le masque doit être correctement placé sur la bouche, le nez et les joues. Sur les bords, il doit être ajusté au plus près possible pour minimiser la pénétration d’air sur les côtés.
➢ Lors de la première utilisation du masque, il convient de vérifier si le masque laisse passer suffisamment d’air afin de gêner le moins possible la respiration normale.
➢ Un masque humidifié doit être retiré immédiatement et remplacé si nécessaire.
➢ L’extérieur du masque utilisé est potentiellement pathogène. Pour éviter une contamination par les mains, il ne faut pas le toucher.
➢ Après avoir retiré le masque correctement, il convient de se laver soigneusement les mains (au moins 20-30 secondes avec du savon) et/ou désinfecter.
➢ Le masque doit être placé dans un sac, ou quelque chose de similaire, mais fermé hermétiquement ou lavé immédiatement. L’utilisation doit se terminer après une courte durée, notamment pour éviter la formation de moisissures.
➢ Après une seule utilisation, les masques lavables doivent idéalement être lavés à 95 degrés, mais au moins à 60 degrés, puis complètement séchés.
En conclusion cette manipulation correcte n’est pas envisageable pour des élèves et les masques deviennent potentiellement infectieux et dangereux.
- Selon plusieurs études 19, le masque ne protègerait pas des virus; cet avertissement apparait d’ailleurs, noir sur blanc, sur des boites de masques.
- Selon le Professeur Beda STADLER, Professeur Emérite et directeur de l'institut d'immunologie médicale de l'Université de Berne, « La population est naïve de croire que c’est efficace car on sait que cette mesure n’évite qu’environ 1% des transmissions » 20.
- Les effets psychologiques sur les enfants/adolescents sont importants : Il s’agirait d’inhibition du développement cérébral (troubles du développement neuronal). Ces dommages pouvant être irréversibles. Les répercussions sur les liens sociaux, sur la communication émotionnelle avec les autres au travers de l’expression du visage, troubles du comportement (agressivité) sont aussi mis en jeu. Des troubles de l’humeur (dépression, angoisse, psychose) ont été aussi rapportés21, 22, 23, 24, 25, 26, 27.
- Si les cantons connaissaient une « deuxième vague » de ce virus, il serait alors temps de chercher à renforcer le système immunitaire de nos jeunes, au lieu de le péjorer avec des masques.
Au vu de ce qui précède, Messieurs les Présidents des Conseils d’État, Mesdames les Conseillères d’État, Messieurs les Conseillers d’État, Mesdames les Députées et Messieurs les Députés, pouvez-vous certifier sur l’honneur et par écrit à tous les jeunes qui fréquentent le secondaire I & II, ainsi qu’à leurs parents, que :
a) Le port du masque n’a aucune conséquence négative sur la santé ?
b) Et que vous êtes prêts à assumer votre décision, et ses conséquences, si les jeunes scolarisés venaient à rencontrer des problèmes de santé (physique et/ou psychique) par la suite ?
Nous espérons que vous réalisez ce que représentent vos exigences sanitaires, imposées au détriment de la santé de nos enfants, qui pèsent également sur les parents et l’ensemble du personnel enseignant.
Nous nous opposons fermement à la mise en péril de la santé de nos jeunes, porteurs de masques à la journée, devant subir ces mesures insensées et se retrouvant inutilement affaiblis physiquement et/ou mentalement, lorsque leur corps devrait être au plus fort de sa forme.
Par souci de préserver la santé physique et psychique de nos enfants, nous, signataires de cette pétition, vous exhortons à reconsidérer la décision de rendre obligatoire le port du masque dans les établissements scolaires.
« Mouvement Suisse pour la Liberté Citoyenne. »
Références scientifiques :
1 Maria Van Kerkhove le 8 juin 2020.
2 Weiyong Liu .et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 Avril; 382 (14): 1370-1371
3 Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473-3099(20)30232 -2
4 Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
5 Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648
6 Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.
7 Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
8 Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23;35(11)
9 LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9
10 Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
11 Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
12 Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.
13 Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020; 58: 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics
14 Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020
15 OMS Coronavirus disease (COVID-19) Situation Report – 209
16 Society for Hospital Hygiene (DGKH), La société allemande de pédiatrie Maladies infectieuses (DGPI), l'Académie allemande de médecine de l'enfant et de l'adolescent (DAKJ), le Society for Hygiene, Environmental Medicine and Preventive Medicine (GHUP))
17 Small droplet aerosols in poorly ventilated spaces and SARS-CoV-2 transmission, The Lancet Respiratory Medicine, 1 Juillet 2020 It is Time to Address Airborne Transmission of COVID-19, par Lidia Morawska et Donald K Milton, 2020, Published by Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.
18 « Conseils relatifs au port du masque dans les espaces collectifs », le 03.05.2009.
19 Liste non-exhaustive : Rancourt, DG (2020) « Les masques ne marchent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale autour de la COVID-19 », ResearchGate, 11 avril 2020 (review); Long, Y et al (2020) « Efficacité des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux contre la grippe : une revue systématique et une méta-analyse », J Evid Based Med. 2020 ; 1 – 9 : « Au total, six ECR impliquant 9 171 participants ont été inclus. Aucune différence statistiquement significative n’a été constatée dans la prévention de la grippe confirmée en laboratoire, des infections virales respiratoires confirmées en laboratoire, des infections respiratoires confirmées en laboratoire et des maladies de type grippal en utilisant des respirateurs N95 et des masques chirurgicaux. La méta-analyse a indiqué un effet protecteur des respirateurs N95 contre la colonisation bactérienne confirmée en laboratoire ». Bartoszko, JJ et al (2020) « Masques médicaux vs respirateurs N95 pour prévenir la COVID19 chez les travailleurs de la santé : une revue systématique et une méta-analyse des essais Randomisés », Influenza Other Respir Viruses, 2020;14(4):365-373 : « Quatre ECR ont fait l’objet d’une méta-analyse en tenant compte du regroupement. Par rapport aux respirateurs N︎95 , l’utilisation de masques médicaux n’a pas augmenté les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire (y compris les coronavirus) ou les maladies respiratoires cliniques ».
20 Professeur Beda Stadler au sujet du port du maque dans les transports publiques. GHI 21.07.2020.
21 The effects of social deprivation on adolescent development and mental health, The Lancet Child & Adolescent Health, Volume 4, Issue 8, 1 Août 2020.
22 Baumeister RF Leary MR. The need to belong: desire for interpersonal attachments as a fundamental human motivation. Psychol Bull. 1995 ; 117 : 497-529
23 Hawkley LC, Cacioppo JT. Loneliness matters: a theoretical and empirical review of consequences and mechanisms. Ann Behav Med. 2010; 40: 218-227
24 Sawyer SM, Azzopardi PS, Wickremarathne D, Patton GC. The age of adolescence. Lancet Child Adolesc Health. 2018; 2: 223-228
25 Mask mandates may affect a child’s emotional, intellectual development, Dr Mary Gillis, 23 Juillet 2020.
26 Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance !, 21 Août 2020, par les docteurs G Delépine, chirurgien oncologue et N Delépine, pédiatre cancérologue.
27 Septante médecins flamands demandent l’abolition du masque dans les écoles: « Une menace sérieuse pour leur développement »
ANNEXES :
Annexe 1 :
Annexe 2 :
OMS, effets secondaires du port du masque :
Dans le grand public, le port du masque par des personnes en bonne santé peut notamment présenter les désavantages suivants :
•Risque potentiellement accru d’auto-contamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées ; (48, 49)
•Auto-contamination possible si un masque non médical humide ou sale n’est pas remplacé, favorisant ainsi la prolifération de microorganismes ;
•Mal de tête et/ou difficultés respiratoires possibles selon le type de masque utilisé ; lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de l’acné en cas de port fréquent et prolongé du masque ; (50)
•Difficulté de communiquer clairement ;
•Sensation possible d’inconfort ; (41, 51)
•Fausse impression de sécurité pouvant conduire à un respect moins scrupuleux des mesures préventives qui ont fait leurs preuves comme la distanciation physique et l’hygiène des mains ;
•port du masque mal supporté, notamment par le jeune enfant ;
•problèmes liés à la gestion des déchets ; l’élimination sauvage des masques peut entraîner une augmentation du volume des déchets dans les lieux publics, présentant un risque de contamination des préposés au nettoyage des rues et des risques pour l’environnement ;
•difficultés de communiquer en cas de surdité et de dépendance de la lecture labiale;
•désavantages et difficultés liés au port du masque éprouvés par:
- les enfants
- les personnes atteintes de troubles mentaux ou de déficiences développementales,
- les personnes âgées atteintes de déficiences cognitives,
- les asthmatiques ou les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques,
- les personnes ayant récemment subi un traumatisme facial ou une intervention chirurgicale orale ou maxillo-faciale,
- ainsi que celles qui vivent dans un environnement chaud et humide.
Annexe 3
Risques pour la santé liés à des couvertures bucco-nasales et augmentation du taux de CO2 dans le sang :
« L'augmentation du CO2 derrière les masques chirurgicaux minces est déjà mesurable dans le sang après quelques respirations » : Thèse de doctorat à l'Université technique de Municha Sommer Butz, Ulrike (2005):
Réinspiration de dioxyde de carbone lors de l'utilisation de masques chirurgicaux comme masque facial hygiénique pour les professionnels de la santé, Université technique de Munich, p. 32, 35, 43.
« Le résultat de cette étude montre que l'un des deux types de masque examinés augmente significativement la pression partielle du dioxyde de carbone dans le sang des sujets. Les valeurs de CO2 artériel mesurées par voie transcutanée ont augmenté jusqu'à 5,5 mmHg. Cette augmentation a été causée par la perméabilité limitée au CO2 des masques. »
L'étude et la mesure de l'augmentation du Co2 ont été réalisées sur des adultes en bonne santé.
Une autre étude, publiée en 2012, a évalué l’effet du port prolongé du masque chirurgical sur la santé de 53 chirurgiens turcs. Il s’agissait de personnes en bonne santé préalable.
Ils ont constaté une augmentation de la fréquence cardiaque et une diminution de saturation pulsée en oxygène (SpO2 reflet de la saturation artérielle) dès après la première heure de port du masque, en les comparant aux valeurs prises sans masque. Une faible variation en saturation en oxygène (SpO2-SaO2) peut refléter une large variation de la pression partielle du sang en oxygène (PaO2).
(© L’oxymètre de pouls)
Cette courbe est la courbe de dissociation de l’hémoglobine. La pression partielle en oxygène dans le sang artériel (PaO2) détermine la saturation (SpO2). Une baisse de SpO2 de 10 (100 à 90 %) correspond à une baisse de PaO2 de 40 (100 à 60 mm Hg).
Les chercheurs concluent que leurs résultats montrent l’impact clinique potentiel du port prolongé du masque sur la respiration. Jean-Dominique MICHEL, 17.09.2020
Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery, A Beder & al, Neurocirugia, 2008, 19, pp 121-126