Non à la taxe kilométrique-Neen aan de kilometerheffing-

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Ce sujet de conversation a été automatiquement créé pour la pétition Non à la taxe kilométrique-Neen aan de kilometerheffing-.


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#25501 Re: taxe kilométrique

2014-03-04 11:15

A +/- 70.000 SIGNATURES A CE MOMENT LA NOS ELUS ONT FAIT MARCHE ARRIERE

#25499: MIA,,,VOTONS PETIT PARTIS - taxe kilométrique

A +/- 70.000 SIGNATURES A CE MOMENT LA NOS ELUS ONT FAIT MARCHE ARRIERE


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#25502

2014-03-04 11:20

Compter les pour les profiteurs de ministres

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#25503 Re:

2014-03-04 11:22

#25455: -

Le 'non' sans proposition alternative est facile... et hors de propos ! il est temps de préciser certains point qu'un démagogue a totalement laissés de côté en créant sa pétition 'Non à la taxe...' :

 

Le OUI sans proposition alternative est facile et hors de propos

Parler de cette taxe et commencer le test SANS LA MOINDRE ALTERNATIVE SERIEUSE est-ce bien séreiux ???

Preuve donc qu'on essaye d'imposer une nouvelle taxation, plus qu'une solution aux problèmes d'engorgement de Bruxelles

1. il s'agit uniquement d'une étude dont le résultat pourrait être négatif et donc amener à rejeter ce principe

Preuve est donc faite, que nos décideurs sont prêts à dépenser plus d'1 million d'euros sans avoir réfléchi au problème AVANT.

2.il s'agit avant tout de 'viser' la zone RER ...donc là où il y a une alternative à l'auto (le vrai RER existera d'ici la mise en oeuvre de cette contribution)

zone RER ? C'est FAUX et vous le savez !!! Cette taxe sera étendue à toute la Belgique

Le vrai RER existera...Oui certainement un jour, que ni vous ni moi ne verrons certainement pas !!! LOL


3. la taxe de circulation annuelle sera supprimée d'où gain pour les petits rouleurs,
Et cette liste n'est pas exhaustive .

ou gain pour les possesseurs de grosse cylindrée...


Alors à ce démagogue, aux futurs réactions populistes de certains politiciens (si! cela arrivera) , aux partisans du 'non' , je dis "un peu d'intellignece et d'honnêteté svp !...et moins d'égoïsme!" Merci d'avance.

on se demande où est le démagogue ?

 

Plutôt que de venir désespérement spammer ici, allez-y motiver les partisans du OUI à venir signer votre pétiton

Ils dovent être très très nombreux, juste un peu timide, peut-être LOL

 


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#25504

2014-03-04 11:24

Les Belges, champion du monde

-des embouteillages
-des impôts
-de la proportion de ministres par habitants

On est gâté avec cette inaptocratie.

« Inaptocratie : un système de gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de la société les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sont récompensés par des biens et des services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs en diminution continuelle. » Jean d'Ormesson

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#25505

2014-03-04 11:24

Depuis que les verts sont au pouvoir à Bruxelles, tous les feux sont au rouge.

Pour permettre à leurs électeurs passifs de pouvoir traverser plus tranquillement pour aller au bistro?

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#25506

2014-03-04 11:25

Quand des feux sont placés contre toute logique, qu'ils sont mal réglés et mal synchronisés, qu'on place des dos d'âne à tire-larigots... On a des embouteillages, quoi de plus normal ?

Quant au Ring de Bruxelles, je persiste à croire que les échangeurs étant ce qu'ils sont, càd des vieux brols datant des années 70, le trafic est condamné à s'engluer à ces endroits-là, véritables goulets bloquant le trafic. Et vu la proximité des échangeurs, la situation devient vite intenable.

A l'échangeur de Bertem, sur l'E40, la Région flamande a adapté l'échangeur entre la E40 et l'E314. Résultat : un trafic beaucoup plus fluide.

Quant à la circulation, elle serait moindre si on investissait vraiment dans les transports en commun. Ce qui ne veut pas forcément dire des travaux pharaoniques à la sauce RER, mais simplement... mettre des trains sur les voies !!

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#25507

2014-03-04 11:26

BRUXELLES avec son Olivier dont la priorité est de diminuer la réduction des voies jusqu'à l'étouffement, la diminution de places de parking, le racket sans frein(!) des automobilistes.
La priorité (!!) du service d'urbanisme n'est pas la fluidité, tout au contraire, ils font TOUT pour favoriser la , les embouteillages donc la pollution. Le coût économique de ces écolos rabiques et nihilistes est faramineux : chômage, manque à gagner, productivité.....

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#25508

2014-03-04 11:26

Bruxelles (83 heures de bouchons en 2013, inchangé par rapport à 2012) reste la ville d'Europe la plus touchée par les embouteillages.........

heureusement que depuis deux législatures le parti Ecolo est au pouvoir à la région bruxelloise, sans eux ce serait pire. Un beau bilan pour ce parti qui se veut vert mais qui est plutôt rouge et qui a perdu son âme d'écologiste.
MIA

#25509 Pour les maffieux et les merdeux

2014-03-04 11:26

#25496: -

la caste prétorienne. c'est tout simplement-----------Nouvel Ordre Mondial

même la déclaration des droits de l'homme en 1789 n'est qu'une fumisterie pour faire croire aux citoyens qu'ils sont libres;

alors qu'en réalité, nous sommes sous la tyrannie et les pouvoirs!
nous avons plus d'obligations que des droits, c'est peu dire que nous sommes libres, mais...pas vraiment!

la caste prétorienne est une oeuvre ,qui a la main et l'Oeil sur tout,d'ou la règle d'or, est de rendre l'humain esclave dans la soumission


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#25510

2014-03-04 11:27

Il suffirait de disperser les administration pour que déjà les routes soient moins encombrées, la circulation mieux répartie. Les entreprises se dispersent déjà beaucoup mais certaines s'accrochent à divers administrations qu'une délocalisation éloignerait de Bruxelles, saturée de bureaux.
Mais les écologistes veulent le tout en commun et donc l'hyper-concentration des entreprises et des administrations... Les automobilistes ne font que suivre le mouvement puisqu'ils sont les employés et clients de ces entités-là.
Malheureusement, pour des raisons liées à la gouvernance socialiste,les transports en commun ne suivent pas le mouvement, n'offrent que très peu de souplesse

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#25511

2014-03-04 11:31

Dans un train entre Bruxelles et Ottignies, l’Etat de droit n’existe plus. La présomption d’innocence devient présomption de culpabilité à cause d’un simple billet rempli au stylo à encre.

Une opinion de Nathalie Frogneux, professeur de Philosophie à l’Université catholique de Louvain.

Une histoire tellement ordinaire, si elle ne disait la limite de l’Etat de droit auquel je tiens tant. Mardi soir, en rentrant de Paris avec le Thalys de 19h47, j’achète un billet au distributeur de la gare du Midi. Il est 19h51, un billet standard de dix trajets simples Bruxelles-Ottignies s’imprime dont je remplis la première ligne avec un stylo pour monter dans le train. Ouf, il n’est pas en retard et je serai bientôt chez moi. C’est sans compter l’inimaginable pour une Belge si habituée à vivre dans un Etat de droit. Un contrôleur s’approche et je lui tends mon billet. "Avec quel bic l’avez-vous rempli ?" me demande-t-il. Avec un stylo des plus classiques, à l’encre bleue. Je le lui montre. Plutôt que de poinçonner mon billet et ainsi de m’empêcher de le réutiliser, il me soupçonne d’avoir utilisé un stylo qui me permettrait éventuellement d’effacer mon parcours. C’est ainsi qu’il commence à frotter la ligne que j’ai écrite. Il s’efforce si bien que les lettres se brouillent et les données s’effacent. Je lui propose alors de réécrire la ligne avec un stylo à bille que je trouve au fond de mon sac. Mais à ce moment-là, il hausse le ton et me dit que je suis en tort, puisque je voyage "sans titre de transport valable". Je comprends alors tout à coup que les choses sont devenues sérieuses et que j’ai affaire à quelqu’un qui me soupçonne de vouloir frauder. Non pas d’avoir fraudé, mais de me garder cette possibilité pour les prochains trajets. Je tente alors de lui prouver ma bonne foi, chose quasiment impossible. Alors je souligne les signes en ma faveur : je ne peux pas avoir fraudé avec un billet Bruxelles-Ottignies que je viens d’acheter dix minutes avant de monter dans le train de 20h03. De plus le papier du billet est glacé, et j’ai utilisé de l’encre qui s’efface bien contre ma volonté, car elle est indélébile sur 99 % des papiers, sur un papier ordinaire, ordinairement poreux. Mais chaudement campé dans son uniforme, il monte le ton. Mes arguments ne l’atteignent pas : il ne se situe pas du tout sur le plan rationnel que je lui oppose. Il exerce son autorité.

J’ai eu peur, je l’avoue

Il prend mon billet de dix voyages et refuse que j’en remplisse la ligne suivante au motif que ces billets doivent être remplis "avant de monter dans le train". Je me trouve donc, selon lui, dans le train sans titre de transport valable. Dans une dernière tentative de lui prouver ma bonne foi, je lui montre mon billet précédent de dix trajets, celui que j’ai utilisé à l’aller lundi matin, entièrement utilisé, mais partiellement contrôlé…

Rien n’y fit. Il me soupçonnait d’avoir utilisé un stylo qui me permettrait éventuellement de frauder. Son "chef" était présent et n’a pas voulu le déjuger. Il y avait cinq contrôleurs dans ce train, tous solidaires, la "Ticket Control Team", sûre de son droit et impitoyable avec les voyageurs. Sans doute voulaient-ils tous faire front face à l’adversaire que constitue l’usager de bonne foi. Aucun n’a voulu prendre part à notre discussion. L’un d’entre eux m’a seulement fait remarquer : "Ce sera le cas tant que les voyageurs rempliront eux-mêmes leurs billets." Les autres ont passé leur chemin. Mais suis-je responsable du fait que la SNCB vende des billets que les voyageurs remplissent ? Suis-je responsable du fait qu’elle émet des billets sur du papier quasiment glacé ? Mais surtout, est-il normal que les voyageurs soient a priori soupçonnés de fraude alors que le contrôle sert justement à oblitérer des billets pour empêcher de les réutiliser ? N’est-ce pas le cas des billets émis à l’avance et valables un mois ? Comment ne pas soupçonner ceux qui les portent de vouloir les réutiliser tant qu’ils ne sont pas oblitérés ? Et pourtant, un billet non oblitéré, n’est-ce pas par définition un billet valable ?

J’ai compris alors que soudain, entre Bruxelles-Midi et Ottignies, j’avais cessé d’être dans un Etat de droit. Dans un wagon de ce train, les principes démocratiques fondamentaux n’étaient pas respectés. La présomption de culpabilité régnait en effet dans le regard fixe du mal nommé "accompagnateur" de ce train. Il m’a obligée à lui acheter un billet majoré d’une amende de 12,50 €. Et si j’avais refusé, l’amende passait à des montants supérieurs (60 ou 200 €), mais surtout il me prenait ma carte d’identité. J’ai eu peur, je l’avoue. J’ai eu peur non pas de payer plus cher mon trajet, mais parce que la raison, la bienveillance et la communauté de ceux qui aiment les transports publics avaient disparu. Ensevelies sous le soupçon sans limite. Ironiquement, sur mon billet de contravention, il est inscrit : "le respect mutuel, c’est classe".

Une expédition punitive et arbitraire

Mais que cherche donc la SNCB ? Ne sommes-nous pas usagers et "accompagnateurs", persuadés que ce moyen de transport rapide, confortable, respectueux de l’environnement et convivial doit être précieusement préservé ? Alors que la SNCB nous demande face aux retards, aux changements d’horaires et aux nombreux travaux, toujours plus d’indulgence et de compréhension à son égard avec sa très célèbre formule : "Nous vous prions de bien vouloir nous en excuser", comment peut-elle se permettre une telle injustice face à un usager de bonne foi, désireux de poursuivre la lecture entamée quelques heures plus tôt ? "Mais il s’agit peut-être de l’erreur d’un membre isolé du personnel", me dira-t-on. Hélas non, c’est l’institution qui faisait bloc et se faisait représenter à travers celui qui n’a pas voulu me donner son nom. Cachés aussi derrière cet anonymat institutionnel, aucun des quatre collègues n’a nuancé ou dénoncé cette outrance. Il s’agissait d’une position injuste portée par 5 personnes en uniforme de la Société nationale des Chemins de Fer belges, cinq personnes qui ont préféré entériner une injustice plutôt que de déjuger un collègue commettant une erreur. La raison et l’argumentation avaient fait place à la raison du plus fort, celle qui sera toujours la meilleure, comme le dit Jean de la Fontaine. Et bien sûr, parmi les passagers, personne n’a pris position. Comment auraient-ils pu le faire face à une situation aussi inattendue et irrationnelle ? J’ai seulement entendu derrière moi une voix masculine dire : "C’est vraiment de l’excès de zèle."

Mardi, je suis sortie de ce train avec le sentiment d’avoir été victime d’une expédition punitive et arbitraire. Mais une victime trop consciente du trésor précieux que représentent des transports en commun accessibles à tous et les valeurs de l’Etat de droit pour passer cette dérive sous silence.

Ce matin, en reprenant le train vers Bruxelles, je garde deux questions. La SNCB peut-elle échapper sur son réseau aux règles de base de l’Etat de droit, où toute personne est présumée innocente jusqu’à preuve du contraire ? N’est-ce pas en dénonçant ces petites corruptions ordinaires, ces corruptions de l’esprit du droit et du vivre ensemble, que nous éviterons des corruptions de grande ampleur pour lesquelles il faut ensuite lutter au prix de sa vie ?

MIA

#25512 Re: Re: ENCORE..de la poudre aux yeux...............

2014-03-04 11:31

#25500: ENAMARE - Re:

haaaaaaaaaa d'accord! c'est une fausse marche arrière de  NOS ELUS ONT FAIT MARCHE ARRIERE

bientôt ce ne sera plus nos elus!

alors ils sauront qui nous sommes.


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#25513

2014-03-04 11:32

l'accompagnateur ne pouvait pas savoir si cette dame ne comptait pas frauder.
***
Effectivement.
Donc il ne pouvait la condamner à payer, puisque vous dites vous-même qu'il ne savait pas.
Je répète, puisque certains se targuant de défendre le droit semblent pourtant ne pas connaître ses principes élémentaires, actori incumbit probation: à l'accusation d'apporter la preuve.
En l'occurence, puisque le contrôleur ne sait pas prouver que cette dame fraude, il ne peut la condamner.
Ici, il l'a condamnée parce qu'il soupçonnait qu'elle aurait pu éventuellement vouloir frauder! Allez donc à la police porter plainte parce que vous soupçonnez votre voisin d'éventuellement vouloir piquer vos tulipes la prochaine fois que vous en planterez et vous verrez ce qu'ils en diront!

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#25514

2014-03-04 11:34

" les contrôleurs de train sont tellement sous la menace de se faire agresser simplement pour faire leur devoir que ça génère irrémédiablement une sorte de tension dans la profession. "

Disons que ces contrôleurs sont effectivement susceptibles de se faire agresser, mais, soyons sérieux, cela n'arrive quand même pas cent fois par jour. Alors, quand ils se retrouvent à cinq face à une "faible" femme, vous comprenez bien qu'ils ne vont pas rater une si belle occasion de montrer leur autorité. Faibles avec les forts, forts avec les faibles, c'est la devise de tous les lâches.

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#25515

2014-03-04 11:36

L’État de droit à la SNCB ?
Histoire observée :
Une enseignante effectue une réservation pour 30 étudiant(e)s. Trajet : Liège-Bruxelles.
Les compartiments sont munis d'une affiche "Réservés pour telle école le ... de ... à ... .
La professeure embarque avec ses étudiantes. Les places sont occupées par des navetteurs.
Elle leur demande poliment de céder leur place. Ils refusent. Elle demande pourquoi.
Ils répondent qu'il n'y a pas assez de places pour s'asseoir et qu'ils ont bien le droit de s'asseoir.
Oui, mais j'ai réservé !
Bref, elle en appelle au contrôleur.
Qui demande aux navetteurs de céder leur place.
Ceux-ci refusent net.
Le contrôleur dit alors à l'enseignante qu'il ne peut rien faire.
Et l'histoire se termine ainsi.

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#25516

2014-03-04 11:36

La "Ticket Control Team", bien connue des usagers et navetteurs sous d'autres noms plus évocateurs... Bref. Le mieux, pour la SNCB, serait de réaffecter très rapidement ces personnes à des tâches sans contact avec la clientèle, et de les remplacer par des gens ayant encore du bon sens. Sans quoi, un jour, il y aura un accident sérieux, car la SNCB doit savoir que la plupart des gens sont beaucoup moins patients et nettement plus "sanguins" que l'auteur de cet article. Cette remarque ne vaut pas pour les contrôleurs habituels, généralement très corrects et courtois.

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#25517

2014-03-04 11:38

Un récit d'une jeune navetteuse en colère.

Ce vendredi, profitant d'un jour de congé, je décide de rentrer à Arlon, saluer mes parents. Le temps de trajet durant 2h27, et devant déjà retourner à Bruxelles le samedi matin, je choisis de prendre la correspondance internationale de 13h13, pour arriver à 15h40. Et ce, afin de profiter d'une agréable après-midi en terre lorraine.

Dès que je me retrouve sous le grand tableau, à la Gare centrale, je constate que le retard est de 10 minutes. Un message nous annonce que le train est à l'arrêt pour des "problèmes techniques". Rien de bien inhabituel, me dis-je. Entre-temps, un autre train en direction d'Arlon s'arrête mais je le nie puisque son temps de trajet est plus long. Erreur stratégique de ma part ! Car les détestables chiffres rouges du tableau d'affichage passent alors de 10 à 20 minutes. Et, petit à petit, le retard continue à gonfler pour finalement atteindre... 55 minutes.

A 14h10, le véhicule arrive enfin. Satisfaite de pouvoir m'installer confortablement, c'est avec le sourire que je monte dans le wagon. Me disant "maintenant, c'est bon !". Je préviens ma mère de mon retard.

Quasi une heure durant, tout roule, comme sur des rails ! Sauf que, à un petit kilomètre de Namur, l'engin se paralyse ! Les infos arrivent tardivement. Les hauts-parleurs crachotent un message quasi inaudible. Je parviens à déchiffrer que la locomotive rencontre des problèmes. Quelques minutes plus tard, le verdict tombe : la locomotive en restera là, elle n'avancera plus... Une autre doit arriver dans 30 minutes pour nous pousser jusqu'à Namur. Elle mettra finalement 1h30 pour pointer le bout de son nez !

Je prends mon mal en patience. Je passe mon temps entre musique et lecture. Le contrôleur, lui, passe entre les navetteurs pour savoir où ils se rendent. Et comme si la situation n'était pas encore assez déplorable, voilà que les lumières s’éteignent et que le chauffage s'arrête... Décidément, le sort s'acharne. Et l'ardeur qui d'habitude me caractérise se dissipe cette fois en frissons dus au froid. Je pense d'ailleurs au fameux slogan de la province du Luxembourg : "Une ardeur d'avance". Appliqué à la SNCB, il se transformerait en "Des heures de retard".

A 17h40, nous entrons en gare de Namur. Je m'empresse de trouver ma correspondance qui doit partir deux minutes plus tard. Mais elle arrivera avec un retard de 10 minutes. Evidemment, le train est bondé. Après avoir erré à la recherche d'une place assise, je trouve un siège vide et m'y engouffre. Pour ne plus m'en relever avant 20h et mon couronnement : l'arrivée à Arlon, après... 6h45 d'attente et de trajet !

La SNCB annonce sur son site qu'elle compense les retards. J'espère que, à défaut de respecter les horaires, elle respectera ses engagements...

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#25518

2014-03-04 11:40

Une chose est certaine: l'augmentation des embouteillages est due à une incurie politique. C'est la responsabilité des politiques d'améliorer l'offre de transports publics, voire d'augmenter la capacité du réseau routier (et cela ne doit pas être considéré comme un tabou, désolé de le dire aux écolos doctrinaires). Le PS a donc une responsabilité énorme, puisqu'il est présent sans interruption à tous les niveaux de pouvoirs depuis 25 ans!
Le PS, à défaut d'augmenter l'offre sur le rail a préféré multiplier les emplois publics coûteux, les postes d'administrateurs dans les intercommunales, ne faire qu'augmenter le train de vie de l'état, pour son propre profit....
Chacun est libre en mai de décider de poursuivre dans cette bananisation de la Belgique..

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#25519

2014-03-04 11:41

Résultat édifiant d'inefficacité lié directement à la particratie
et leurs politiques de divisions, régionalisation, communautarisation et multiplication des niveaux de pouvoirs (...pour caser tous les camarades).

Chaque dossier touchant au transport se trouvant sous la tutelle de plusieurs Ministres,
dilution des pouvoirs et donc de décisions.
Plaisir de faire échouer un dossier de la majorité...

...et les navetteurs et Bruxellois attendent leu RER depuis près de 40 ans !

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#25520

2014-03-04 11:41

La plupart des gens qui utilisent la voiture le font parce que cela réduit leur temps de parcours.

A voir la taille des embouteillages, ça laisse pensif quant à la qualité de l'offre des transports en commun.

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#25521 Re:

2014-03-04 11:42

#25506: -

Pour le maintien de la pétition

2014-03-03 20:42

 

La démocratie… Vous connaissez ? Nous ne croyons pas que les partis au pouvoir comprennent ce mot.
Le Gouvernement appuyé par des études d’écolos, de socialistes, et des « Collabos » de la Febiac, mettront tout en œuvre pour changer vos comportements dans votre auto.

Ce boîtier-traqueur vous suivra dans vos moindres trajets en voiture. Le but est de vous taxer en fonction du moment, du trajet et du type de voiture.

Paraît-il cela règlerait les embouteillages dans les grandes villes. Nous ne sommes pas le 1er avril, il faut arrêter d’intoxiquer.

Voilà encore une magnifique idée pour vous dépouiller. On vous dira que cela remplacera équitablement la taxe de circulation. C’est évidemment un mensonge, nous n’avons jamais vu de taxe remplacer une autre à la baisse. Il faut laisser cela pour les contes de fées.
Les détraqués écologiques et autres zélotes anti-voitures ont détérioré volontairement la fluidité du trafic, en enlevant des bandes de roulage pour les donner à des cyclistes qui sont inexistants. Ils y ont ajouté pour faire bonne mesure des chicanes et autre gadgets de l’infrastructure pour créer des embouteillages afin d’accuser les voitures. Sans oublier la volonté délibérée de ne pas installer un système de synchronisation des feux.
Le raisonnement de la Febiac est tout simplement biaisé par la pression des élus actuels.
Nous refusons tout simplement cet espionnage, qui nous relèguera définitivement au rang de citoyens-zombies.

 


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#25522

2014-03-04 11:42

Diminuer les embouteillages demandent des solutions radicales et impopulaires mais o combien nécessaires. Avis aux politiciens courageux :
- augmenter les accises sur le diesel, très polluant en particules fines par ailleurs
- prévoir des parkings de dissuasions gratuits ou peu onéreux à proximité des gares
- encourager le télétravail (cela nécessite aussi le soutien des employeurs)
- introduire un péage aux heures de pointe dans les grandes villes et surtout à Bruxelles

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#25523

2014-03-04 11:43

Ecologisme : tout est fait pour dégoûter les automobilistes alors que l'offre en matière de transport en commun ne cesse de s'enfoncer dans la nullité (mais ça c'est à cause du socialisme).

Bref, votez à droite et les choses ne pourront que s'améliorer voire au pire, stagner... Alors que pour le moment elles se dégradent tous les jours.

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#25524

2014-03-04 11:44

"La Belgique, championne d'Europe des embouteillages ...Signe de la reprise économique ...."

Je commence à comprendre maintenant pourquoi il y a tant de chantiers de travaux des rues -routes à Bruxelles et en Belgique qui durent une éternité .... pourquoi les feux sont souvent si mal synchronisés..et pourquoi on transforme, par des sens uniques, certains quartiers en labyrinthe....c'est pour démontrer la reprise économique....mdr

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#25525

2014-03-04 11:44

Signe de la reprise économique dans certains pays européens, le niveau des embouteillages automobiles est reparti à la hausse en 2013 en Europe pour la première fois en deux ans, selon une étude publiée mardi.

A l'inverse, les pays touchés par un taux de chômage élevé ou une économie en crise ont généralement connu une baisse du niveau des bouchons routiers.

A partir de l'étude de trillions (un trillion = mille milliards) de données brutes sur la circulation, INRIX, fournisseur mondial d'informations trafic, d'itinéraires et d'aide à la conduite, a analysé les informations de plus d'un million de km d'autoroutes et de routes en Europe.

Selon cette étude, les embouteillages ont augmenté chaque trimestre de 6 % en moyenne entre le début du mois de mars et la fin du mois de décembre 2013.

Le Belgique reste la championne européenne du nombre d'heures perdues dans les bouchons en 2013 avec une moyenne annuelle de 58 heures (inchangé par rapport à 2012), devant les Pays-Bas (44 - 7 heures par rapport à 2012), l'Allemagne (35, - 1), la France (35, - 2), le Luxembourg (31, + 3), le Royaume-Uni (29, + 1) ou l'Italie (24, + 3).

Bruxelles (83 heures de bouchons en 2013, inchangé par rapport à 2012) reste la ville d'Europe la plus touchée par les embouteillages, suivie de Londres (82, + 9), Anvers (78, + 1), Rotterdam (63, - 8), Stuttgart (60, - 5), Cologne (56, - 2), Milan (56, + 5) ou Paris (55, - 8).

En France, la majorité des grandes villes ont vu diminuer le nombre d'heures perdues dans les bouchons entre 2012 et 2013. Paris est en tête (55 heures en 2013, - 8 heures en 2012), devant Lyon (43, - 3), Grenoble (42, + 2), Bordeaux (41, - 5), Toulouse (39, - 1), Toulon (37, - 4), Strasbourg (37, - 2) ou Rennes (33, - 1).

Et sans surprise, le périphérique parisien (35 km) reste la voie la plus embouteillée de France. Le pire, selon l'étude d'INRIX, est la portion du périphérique intérieur sur 12 km entre la Porte de Saint-Cloud et celle d'Orléans qui enregistre 77 heures de retard par an dues aux bouchons.