NON à la destruction du réseau SARAH ALSACE

L'argent public me semble ici particulièrement bien employé puisque les taux de réussite aux examens des jeunes suivis par SARAH est de plus de 80% (selon les informations données par les associations dys). Il faut remercier les pouvoirs publics d'avoir contribué à un service créateur de lien social entre des employeurs, des futurs travailleurs, des familles, des éducateurs, qui permet à des jeunes de devenir par leur travail et leurs cotisations, acteurs de leur vie, salariés et eux-mêmes contributeurs à la société qui les a aidés à grandir et à se former. Cela ne vaut-il pas mieux que cantonner des gens dans l'incapacité de se débrouiller seuls et d'être obligé de leur octroyer après une allocation de survie ? C'est pourquoi, il faut que ce service conserve ou retrouve ses financement. Sans quoi, il est à craindre que l'argent économisé au budget de cette action citoyenne formatrice et libératrice risque de devoir être employé dans d'autres budgets comme ceux de l'assistanat, des minima sociaux ou des allocations handicap et pour des sommes peut-être plus élevées.