NON à l'éviction de la directrice de la crèche Paprika, Mme Leroy

Depuis la création de la crèche en octobre 2010, Armelle LEROY en assure la direction.

Or, celle-ci n'a pas repris ses fonctions à la rentrée de septembre.

Aucune information n’a été donnée au  personnel de la crèche et la situation se dégrade rapidement. De nombreuses inquiétudes naissent et le silence de la Maison Bleue permet le développement de  rumeurs calomnieuses.

L’accueil de nos enfants n’a pas été, lors des premiers jours de reprise, réalisé dans de bonnes conditions : nos enfants ont été perturbés par trop de changements radicaux, par la mise en place d’une équipe complètement perdue, par l’incompréhension des parents vis à vis de ces changements soudains.

Même le mobilier a été changé de place depuis le début du mois. Comme si cela constituait une urgence. Comme si nos enfants n'étaient pas suffisamment désorientés.

Nous subissons une complète désorganisation de l’encadrement, des activités, de l’ensemble de l’équipe.

La situation doit être clarifiée !

8 salariés sont  en arrêt maladie,  dont 4 ont déjà quitté l’établissement, et la psychologue a été licenciée !

Depuis le 18 juillet, la Maison Bleue cherche une nouvelle directrice  sans que ni le personnel ni les parents n’aient été informés d’un éventuel départ (voir bourse d’emploi du site Maison Bleue).

Au regard du silence de la direction, le mal-être semble être autant présent au sein de la nouvelle équipe de la Crèche Paprika qu'à la direction de la Maison Bleue.

C’est pourquoi nous réclamons dès à présent un éclaircissement, par écrit, relatif à la situation de l'équipe, et en premier lieu la directrice.

Et par conséquent, compte tenu de la situation actuelle, nous demandons le retour de Mme Armelle LEROY.

Nous souhaitons que nos enfants aillent de nouveau à la crèche avec envie, et n'aient plus l'angoisse de nouveaux changements.

Parce qu'il n'est pas tolérable que le dénigrement et le silence soient les seules réponses à nos questions.

 

Parce que les victimes de ces manœuvres sont d'abord et surtout nos enfants.